LA PRÉVENTION DOIT ENTRER DANS LES NOUVEAUX MODES DE PENSÉE ET D’ACTION

Je ne connais personne qui soit venu me voir en tant que cancérologue pour me demander d’avoir un cancer

Nous voyons des personnes qui en ont très peur (les cancérophobes) pour de multiples raisons. Il faut les prendre très au sérieux car leur anxiété, leurs stress multiples augmentent les risques du fait des sécrétions hormonales négatives qui réduisent l’immunité (le cortisol en particulier) en plus d’autres facteurs de risques associés.

En revanche, je suis inondé de demandes pour prévenir, éviter le cancer, quand un gène est présent, quand plusieurs membres de la famille ont été touchés, quand la personne a compris un certain nombre de causes liées à des comportements ”cancérigènes”. Souvent aussi je suis interrogé malheureusement quand la maladie a déjà fait son oeuvre.

On me demande alors des conseils pour éviter les récidives. La démarche est juste et impose de rechercher les causes (car il n’y a jamais qu’une seule) afin qu’elles soient à tout prix évitées car logiquement « les mêmes causes produisent les mêmes effets ».

Evidemment nous ne savons pas tout à ce jour quant aux raisons précises de telle ou telle localisation cancéreuse. Nous les approchons de plus en plus même pour des tumeurs rares, du cerveau, des os, des muscles et chez les jeunes enfants.

Heureusement les vastes études dites épidémiologiques (modes de vie de populations saines comparées à des populations malades), et aussi, – trop souvent oubliées ou mal conduites – les questions précises posées aux patients avec délicatesse et rigueur, à ses proches, permettent de cerner les risques de mieux en mieux.

Cela mériterait de belles émissions de télévisions qui attireraient un très nombreux public. Mais parfois on se demande si certains n’ont pas intérêt à ce qu’il y ait de plus en plus de cancers, dans toutes les familles et à tous les âges de la vie. En effet quelle industrie, quel(s) lobbies financeraient de telles émissions de prévention pour quelles publicités et avec quels produits à vendre ?

N’est-ce pas le rôle des chaînes publiques financées largement par nos impôts de donner les informations que nous attendons tous et qui réduiraient plus vite qu’on ne pense les dépenses de santé ?

Vous avez remarqué que je n’ai plus accès aux médias audiovisuels, tandis que certains ne se gênent pas pour inonder des millions de téléspectateurs de fake news très bien fabriquées., Dans celles-ci il y a 50% de vrai,  50% de faux et l’on retient surtout le faux, ce qui est sponsorisé pour réaliser l’émission et que chacun passe à l’acte d’achat.

Pourquoi cet ostracisme à mon égard ?

Beaucoup de médias me font encore passer pour un anti-vaccins ce qui est totalement faux. Pourtant la chambre disciplinaire nationale du conseil de l’ordre de ma profession a parfaitement lu et compris ce que j’ai écrit avec des mots compréhensibles par le plus grand nombre. Nul doute qu’elle a aussi tenu compte de mes nombreuses publications nationales et internationales et des soutiens sans réserve de mes collègues et nombreux élèves français et étrangers que je remercie chaleureusement.
Si j’avais été contre les vaccins, il eut été normal que l’on cherche à ce que je sois radié de ma profession, que je ne cesse d’exercer avec passion depuis 50 ans.

En juin 2018, la chambre disciplinaire nationale suite à une plainte du président national m’a reconnu non coupable tout en considérant que la liberté d’expression était d’une grande importance dans notre pays et dans le corps médical en particulier.
Malgré cette logique, cela a créé un déchaînement médiatique parfaitement orchestré contre ma personne, y compris des académies, tandis que le président du conseil national demandait immédiatement au Conseil d’Etat de casser ce jugement qu’il considérait comme insupportable. Un vrai harcèlement !

Je ne sais pas ce que décidera le conseil d’Etat. Je m’attends à tout.

Un bon discernement, chers Amis de la Santé, est donc nécessaire. Pour cela il faut être assez averti, rester en contact avec les évolutions scientifiques qui vont très vite, et faire part de son expérience. Si les médecins s’intéressent à juste raison aux maladies à leur diagnostic, à leurs traitements, ils sont malheureusement mal informés et peu formés pour une prévention efficace – en dehors du tout vaccinal sans réfléchir – et n’ont pas le temps de s’en préoccuper. De plus, il n’y a rien à prescrire !

Heureusement il y a les réseaux sociaux – que l’on cherche à contrôler-censurer – et la large diffusion de mes lettres, les webinaires que je multiplie. Vous le savez ma passion c’est de transmettre de la santé avec 50 années d’expérience en cancérologie, chirurgie et nutrition et nécessairement développées en immunologie car là est l’avenir. Mes compétences que j’entretiens sans cesse ne sont pas faites pour remplir les Instituts du cancer ou les centres privés !

Pour ceux que cela intéresse je serai présent bénévolement comme chaque année en Aragon aux 5 jours de Vitaregen pour diffuser de la prévention.

DES CHIFFRES INQUIÉTANTS QUI NE PEUVENT QUE CROÎTRE SI NOUS NE CHANGEONS PAS.

Ce mois de juillet 2019, les chiffres officiels sont tombés. Ils sont très préoccupants. Le quotidien Le Monde du 3 Juillet 2019 dans Science & Médecine – Supplément, titrait en première page

«  TRÈS FORTE HAUSSE DES CANCERS CHEZ LES FEMMES »  

Je cite en suivant, les signataires Paul Benkimoun et coll. dans la page 3 ACTUALITÉ.

«  Le nombre de nouveaux cas de cancer a augmenté de 45% chez les femmes entre 1990 et 2018, contre 6% pour les hommes, selon de nouvelles données.
Le tabac ”premier tueur par cancer en France », en est le principal responsable. Le cancer du poumon reste la première cause de mortalité masculine.
Chez les femmes le nombre de tumeurs du sein a presque doublé depuis 1990 (58459 nouveaux cas en 2018) et est, en France comme ailleurs, la cause de la majorité des décès (12 146 en 2018).
La mortalité du cancer du sein régresse certes de 1,6% par an depuis 2010, et, dans 15% des cas la survenue de la maladie serait due à l’abus d’alcool.
Le cancer du pancréas augmente, lui, de 2,7% chez les hommes et de 3,8% chez les femmes pour des raisons inexpliquées. »

Voici d’autres points essentiels à retenir

  • A propos des cas de cancers du poumon
    Le cancer du poumon va devenir et sans doute de loin la première cause de mortalité par cancer chez les femmes, devant le cancer du sein.
    A tabagisme égal le tabac est plus toxique pour elles, sans doute en raison de facteurs hormonaux. En réalité ce sont surtout les capacités pulmonaires vitales – somme du volume courant, du volume de réserve inspiratoire et du volume de réserve expiratoire – d’environ 3,150 L chez la femme et de 4,300 L chez l’homme soit 13% de moins pour les femmes.
  • A propos des cas de cancers du sein
    L’incidence la plus élevée des cas de cancers du sein est retrouvée chez des femmes entre 65-69 ans et 70-74 ans, mais des cancers du sein peuvent être décelés chez des femmes jeunes voire très jeunes. Malheureusement de plus en plus souvent.
    Les auteurs du rapport mettent en cause dans l’évolution défavorable au fil des générations, des facteurs hormonaux extérieurs et reproductifs (grossesse de plus en plus tardive) et la prévalence de l’obésité. 15% des cancers du sein seraient dus à l’abus d’alcool, il faudrait ajouter alcools forts et non pas un verre de bon vin bio par jour. On lit en plus : « le travail de nuit, les perturbateurs endocriniens ou certaines expositions professionnelles.. » .. Une consœur affirme « des formes plus invasives obligent à considérer qu’il s’agit d’une épidémie » et ajoute «  il faut limiter les traitements hormonaux, pilules contraceptives, perturbateurs endocriniens qui peuvent fragiliser la glande mammaire » , «  il y a clairement un effet de l’environnement et du mode de vie global. »

    Or j’affirme la même chose depuis 30 ans, mais curieusement les médias ne diffusent pas l’information ou vraiment à minima.

    C’est ainsi qu’au début du mois d’août 2005, je recevais une lettre personnelle d’un de mes maîtres auquel je m’opposais clairement sur ces sujets. Il m’écrivait à propos de la pilule considérée comme cancérigène groupe 1 par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer du 29 juillet 2005) : « tu avais raison bien avant dont acte ».

    Dès la rentrée de septembre curieusement tous les médias grand public féminin en particulier, écrivaient dans leur meilleure page la non-dangerosité de la pilule et certains même affirmaient qu’elle prévenait des cancers.

    Je m’attendais à ce que le maître président de la ligue nationale contre la cancer laquelle a toujours eu un gros budget de communication affirme enfin sur nos grandes chaînes audiovisuelles la vérité scientifique, à savoir : «  La pilule, même la moins dosée est le premier des perturbateurs endocriniens, comme le THS de la ménopause, et ces hormones exogènes prises trop longtemps augmentent les risques de cancer du sein ».

    Rien ne fut dit. Les femmes n’ont pas été averties.

    Evidemment le nombre de cas de cancer du sein n’a cessé d’augmenter. Comme vous pouvez le vérifier, en matière scientifique la vérité peut être difficile à annoncer surtout quand elle ne va pas dans le sens du vent ! Pourtant je l’avais annonçée dans mon livre « Femmes si vous saviez  – Hormones, Ménopause Ostéoporose » paru en 2001. Aucun média n’en a parlé. Où se trouvent leur liberté d’expression et comment informer librement ? Je ne suis pas étonné par la contestation des journalistes qui trop souvent doivent écrire ce qu’ils ne veulent pas !

  • A propos des cas de cancers du pancréas
    Cette localisation est responsable de 11 456 décès en 2018. Une consommation excessive d’alcool et de tabac, une modification des comportements alimentaires associés à une prévalence croissante de l’obésité pourraient contribuer à expliquer en partie ces tendances. En particulier les consommations excessives de produits animaux : viandes rouges et produits laitiers.

  • A propos des cas d’hémopathies en hausse : les lymphomes
    Il existe avec certitude chez les agriculteurs une association entre les lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB) et l’exposition aux pesticides, comme le glyphosate. Et celui-ci est toujours répandu dans l’agriculture productiviste et par des particuliers. On le sait dangereux de façon certaine, mais le président de la république a décidé que nous en consommerions encore 3 ans.

    Une maire de l’Ile de France (Terray en Yvelines) a commencé une courageuse résistance en bannissant les pesticides, glyphosate en particulier de sa commune. La préfecture évidemment veut annuler cette résistance.

Clairement le mode de vie occidental est en cause, écrit le toxicologue André Cicocella. Qu’est-ce à dire ? Devrions nous changer de mode de vie et de quelle façon ?

Nous ne changerons guère l’environnement avant des dizaines d’années, tant les responsables politiques sont peu compétents sur ces sujets essentiels de santé publique, conseillés par des experts qui manquent d’indépendance et de compétence de terrain. Trop d’agriculteurs sont dépendants du lobby des pesticides de l’agriculture productiviste qui les oppressent financièrement et l’Etat laisse faire.

Nous pouvons réduire le tabagisme et l’alcoolisme, nous pouvons augmenter notre activité physique, nous pouvons manger mieux et meilleur.  Tout cela dépend de chacun d’entre nous qui peut devenir acteur de sa santé.

Faut-il attendre des études épidémiologiques de nos collègues de santé publique pour informer le grand public sur ce que l’expérience clinique nous apprend ? Ces collègues ne voient jamais de malades, publient des recommandations à partir de statistiques, de méta-analyses commandées souvent par une recherche aux ordres sponsorisée par les lobbies privés. Car l’Etat n’a d’argent que pour payer les salaires des chercheurs, mais pas pour des recherches indépendantes. Et si les résultats ne vont pas dans le sens du ou des sponsors, ils ne sont pas publiés.

La conclusion économique de l’article du Monde du 3 juillet fait aussi réfléchir : « Les dépenses de santé consacrées au cancer auraient augmenté de plus de 3 milliards d’euros entre 2012 et 2017, pour s’établir à 14 milliards d’euros en 2017, selon une récente cartographie de l’assurance maladie. »

L’Etat a beau tenter pour ré-équilibrer ses budgets de faire des économies, il y parvient d’autant moins qu’il réduit partout le personnel médical et para-médical tandis que la multiplication des maladies de civilisation ne cesse de croître.

En plus des cancers, sont apparues un très grand nombre de maladies dites ”auto-immunes” qui d’ailleurs peuvent être préalables au développement de cancer dans tel ou tel organe atteint. Au total, hôpitaux et cliniques, personnel médical et chirurgical sont au bord de la révolte.

Les médecins sont de plus en plus soumis à des protocoles qui leurs sont imposés, plus pour les profits pharmaceutiques que pour la santé de leurs patients, encore en bonne santé ou malades eux mêmes. Ainsi la relation médecin-patient se détériore à grande vitesse.

CE QUI FAIT L’UNITÉ DE TOUTES LES ATTEINTES DE CANCERS, DES MALADIES AUTO-IMMUNES, DES ALLERGIES, CE SONT NOS DÉFENSES IMMUNITAIRES QUI SONT PERTURBÉES.
Dans tous les cas, les défenses immunitaires du patient doivent être évaluées

Le Syndrome d’Immuno-déficience acquise (SIDA) nous a beaucoup appris en matière d’immunité. Il nous a fait comprendre et chercher les bases de notre immunité, de la naissance à l’âge le plus avancé.

Les maladies auto-immunes peuvent se focaliser sur tel ou tel organe selon la susceptibilité des personnes. Les enfants allergiques sont de plus en plus nombreux. Il faut tous les traiter et le plus longtemps possible sans réfléchir à des moyens thérapeutiques plus doux, plus naturels, plus efficaces sans effets indésirables.

Ceux qui ont rejeté l’homéopathie n’ont aucune expérience en ce domaine. Personnellement il m’arrive de confier à des collègues homéopathes des patients, autant pour les aider à supporter les traitements lourds de la cancérologie, que pour traiter allergies ou maladies auto-immunes et j’ai souvent remarqué leur efficacité bien moins coûteuse que les médicaments classiques.

Avec les maladies auto-immunes à juste raison on parle d’épigénétique qui peut fragiliser tous les organes.

Fragilité thyroïdienne et c’est la thyroïdite ; fragilité digestive et c’est la maladie de Crohn ou la Recto-Colite Ulcéro-Hémorragique (RCUH), les pancréatite ou hépatites ; les fragilités musculaire et ostéo-articulaires et il s’agit de fibromyalgie ou de rhumatismes ; la fragilité de la peau et l’on pense à psoriasis, lupus érythémateux, sclérodermie ; à un âge de plus en plus jeune, c’est le système nerveux qui est atteint avec les cas de Scléroses en plaques (SEP) ou latérale amyotrophique (SLA) et un peu plus tard de Parkinson ou d’Alzheimer ; fragile est également le système urogénital avec les néphropathies, les cystites..…

Bref tous nos tissus et organes peuvent être atteints.

Pour toutes ces maladies, la médecine allopathique a fait d’énormes progrès. Les chercheurs ont mis au point des médicaments à actions spécifiquement immuno-logiques.

Ce sont les immunosuppresseurs, aux actions anti-inflammatoires focalisées, les biothérapies que l’on retrouve sous d’innombrables marques et pratiquement dans toutes les maladies.

De plus l’immunothérapie des cancers vise à mobiliser les défenses immunitaires du patient et utilise des anticorps monoclonaux fabriqués par des cellules immunitaires particulières contre les cellules cancéreuses. Les spécialistes de l’INSERM disent eux-mêmes « L’immunothérapie des cancers a pour but de « réveiller » le système immunitaire et de l’éduquer pour qu’il élimine les cellules cancéreuses.”

ON NE PEUT PAS PREVENIR SANS CONNAÎTRE LES CAUSES EVENTUELLES A EVITER.
Le grand public les attend et peut parfaitement les comprendre.
D’énormes économies de santé en perspective !

Avoir les défenses immunitaires orientées vers la Santé, voilà l’objectif pour tous. Cela implique de comprendre comment est organisé et comment fonctionnent notre immunité. Elles dépendent des six éléments suivants de notre vie quotidienne.

Ce que nous respirons – Ce que nous mangeons, pour cela naturopathes et micronutrionnistes en connaissent plus que nous médecins qui n’avons jamais le temps de parler de ce sujet si important, base de 70 à 80% de nos défenses immunitaires – La sélection et l’élimination des déchets par les différents émonctoires – nos activités psychique et affective – notre activité physique – notre sommeil réparateur…

Cela implique une vision Holistique, c’est à dire globale de l’ÊTRE humain que nous sommes. On parle de médecine intégrative, de médecine quantique que l’on oppose trop souvent à la médecine qui a fait ses preuves. Ces oppositions sont inutiles et dangereuses.

On voit bien que les médecins que nous sommes quelle que soit notre spécialité, sont essentiellement orientés vers le diagnostic (des moyens nombreux et efficaces et très coûteux ont souvent remplacés l’examen clinique qui peut éviter tant d’erreurs).

Et les traitements sont tout aussi nombreux, chacun ayant ses propres effets indésirables. Dans les maisons de retraite, les piluliers débordent, les abus thérapeutiques sont considérables et aggravent les pathologies du vieillissement.

VITAREGEN EN ARAGON du 22 au 27 septembre prochain.

Heureusement pour tous ceux qui en ont besoin l’aventure de Prévention-Santé continue en septembre prochain.

La prochaine session à laquelle je participerai aura lieu dès le dimanche 22 septembre 16h jusqu’au 27 septembre prochain 16h.
A partir des questions que je reçois chaque jour d’un très grand nombre de patients, et suite aux lettres hebdomadaires publiées sur mon site www.professeur-joyeux.com, avec les organisateurs nous avons décidé d’orienter la prochaine session de manière plus ciblée pour :

– les patients porteurs des gènes du cancer : du sein et de la prostate, de lésions de l’estomac, du pancréas, du colon et du rectum… que l’on affole souvent en proposant des traitements agressifs.
- les patients qui ont été atteints par le cancer (quelle que soit la localisation) et qui évidemment ne veulent pas avoir de récidives.
– les patients atteints de MICI : Maladies Inflammatoires Chroniques Intestinales. Il s’agit surtout de la maladie de Crohn et de la Rectocolite Ulcéro Hémorragique (RCUH).
– les patients atteints de maladies rhumatismales et cardiovasculaires



Voici en résumé le programme des 5 jours:
Jour 1 – La Génétique, l’Épigénétique et les cancers – Connaître vos défenses immunitaires et renforcer votre terrain.
Jour 2 – L’Alimentation anti-cancer, anti-inflammatoire, anti-vieillissement et votre Bilan Bio-Nutritionnel + un atelier pratique de cuisson idéale pour votre santé
Jour 3 – Lutter contre les stress, un remède anti-cancer : comprendre, gérer, résoudre…
Jour 4 – Les états respiratoires, hépatiques, rénaux pour supporter les traitements lourds : oxygénation, réparation, hydratation, immunité.
Jour 5 – L’activité physique adaptée à votre état de Santé.

Tous les jours le Qi Qong avant le petit déjeuner pour ceux qui veulent et de magnifiques promenades sont prévues ainsi que des activités physiques spécifiques pour votre dos, vos articulations en plus du sauna et des bains dans le lac si les cultures aragonaises ne l’ont pas asséché.…

Attention, ne peuvent être formées et hébergées plus de 80 personnes lors de chaque session.
– Si vous êtes concerné, inscrivez-vous rapidement auprès de Sylvie Bordes, il reste peu de places.

LES CHEMINS DU LAC – VITAREGEN (Village Santé)

Correspondance et contact : 65250 Hechettes (France)

Tél. : 00 33 6 13 63 02 57

E-mail : [email protected]

Avec les Docteurs Claude Lagarde, Anne de Clerck homéopathe, Jean-Pierre Poinsignon, rhumatologue et médecin physique de Grenoble, nos amis ostéopathe et bioénergéticien Christian Bordes, naturopathe Yves Jimenez, Sylvie Bordes sophrologue et micronutritionniste, Pierre Laur hypnothérapeute nous serons là à votre service..

À bientôt en Aragon, si vous le souhaitez, pour vous aider à retrouver, maintenir Vitalité et Santé.

Passez un bel été, plein de bons fruits, de bons vins (avec modération), et de Vitamine D que nous donne généreusement le Soleil.
Pr Henri Joyeux

La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information santé indépendant et gratuit, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles.

Les informations de cette lettre d’information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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