Lettre N°132 du Pr Henri Joyeux – Le 12 septembre 2016

Chers AMIS de la SANTÉ,

Il est heureux que cette lettre soit publiée à la rentrée scolaire, avant la concertation citoyenne sur la vaccination. Celle-ci donnera ses conclusions à l’automne ou en fin d’année. Cette lettre est nécessairement longue, car elle doit répondre à toutes vos questions, vous parents et grands-parents inquiets pour la santé de vos enfants et petits-enfants en cherchant à généraliser les vaccinations, à les rendre exigibles.

Le 29 mai 2015, en réponse à notre pétition sur les vaccins, la ministre de la Santé affirmait « la vaccination, cela ne se discute pas !». Une façon de fermer le débat avant de l’avoir ouvert. Cette pétition est à ce jour signée par 1 million 78 000 personnes.

Pour parvenir à nos fins, il ne faut pas hésiter pas à diffuser la présente lettre très largement jusqu’à votre médecin référent souvent agacé par tant d’informations contradictoires pour lui-même et ses patients. En effet officiellement « un quart des médecins émet des doutes et 43 % manquent d’assurance pour informer leur patientèle sur certains vaccins avec adjuvants ». L’industrie vaccinale est un empire toujours très puissant,  mais fragilisé par le manque de confiance du grand public. Nous allons voir pourquoi. L’empire vaccinal reste puissant, mais fragilisé par le manque de confiance du grand public. Nous allons voir pourquoi.

La loi française exige pour les enfants, au plus tard trois mois après leur admission (et non leur inscription) en collectivité, un certificat soit de vaccination contre diphtérie, tétanos et polio (DTP) (+ fièvre jaune pour la Guyane), soit de contre-indication dûment signée par votre médecin référent. Or cette vaccination DTP seule est devenue impossible par la volonté des laboratoires internationaux, a créé la pénurie. Ainsi ils imposent à la place une vaccination 7 fois plus coûteuse contre 3 maladies supplémentaires dont les enfants en bonne santé n’ont pas besoin.

Ces trois maladies dont les vaccinations ne sont pas obligatoires, sont la coqueluche (seuls les enfants fragiles en ont vraiment besoin), la méningite à l’hemophilus influenzae b (nécessaire chez les enfants présentant un état d’immunodépression congénital ou acquis. Le vaccin selon le fabricant peut être responsable d’affections psychiatriques tels irritabilité ou cris incontrôlables ou anormaux), et l’hépatite B dont aucun nourrisson n’a besoin, sauf si l’un de ses parents ou les deux sont atteints par le virus de l’hépatite B.

Continuons ensemble à réclamer à cor et à cri, le seul vaccin légalement obligatoire contre Diphtérie-Tétanos-Polio sans adjuvant. Ce vaccin n’a pas besoin d’être injecté à l’enfant si sa mère en bonne santé l’allaite intégralement 6 mois et au moins matin et soir au-delà du 6ème mois pendant 1 ou 2 ans selon les recommandations de l’OMS. La vaccination peut attendre les 18 mois de l’enfant selon la loi française. (En date du 20 mars 2015, le Conseil constitutionnel a confirmé que « les articles L. 3111-1, L. 3111-2 et L. 3111-3 du code de la santé publique sont conformes à la Constitution ». Décision n° 2015-458. )

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